À peine suggérées, et parfois évanescentes comme une pensée, dans un mouvement engendré par des bises chaleureuses, couleur rubis, rose ou soleil, symbole de légèreté et d’insouciance, comme un souffle qui traverserait les saisons, tout droit sorties de la matrice du monde, renaissent dans cette Provence magique, le temps d’une danse annonçant les chaleurs torrides, mes atemporelles efflorescences.
Je suis très heureux de partager avec vous cette nouvelle série inédite, mise en lumière par CORRIDOR ÉLÉPHANT. Je vous invite à découvrir la suite de ce travail photographique dans sa Galerie d’Exposition.
1946-47 : l’association dite « Salon des Réalités Nouvelles » se substitue à l’association « Abstraction-Création » (1931). C’est le Salon de l’Abstraction, animé par les artistes. 1956, puis 1980 : toutes les tendances de l’abstraction sont représentées au Salon, et jusqu’aux marges de l’abstraction.
Texte de Erik Levesque, issu de la Tribune 2022 des Réalités Nouvelles
La première exposition « Réalités Nouvelles » eut lieu en 1939 à Paris. Elle se composait de deux expositions successives, chacune scindée en deux séries. Première exposition et première série du 15 au 28 juin, « Œuvres des artistes français », avec la participation des frères Duchamp et du couple Delaunay. La seconde série du 30 juin au 15 juillet était consacrée « aux artistes étrangers » dont Kandinsky, Kupka, Malevitch, etc. accompagnée du projet de Le Corbusier et Jeanneret pour un musée d’art moderne. La deuxième exposition, du 17 au 31 juillet, était consacrée aux « œuvres des artistes dont la tendance inobjective s’est volontairement arrêtée avant 1920 » (avec Jean Crotti, beau-frère de Marcel Duchamp) et des « œuvres des artistes après 1920 » dont Barbara Hepworth, Jeanne Kosnick-Kloss, Sophie Taeuber-Arp… La suite, constituée d’artistes « ayant travaillé après 1920 dans ce sens », devait avoir lieu le 1er octobre. La déclaration de guerre le 1er septembre lui fit faire long feu. Suzanne Duchamp, la sœur des frères du même nom et épouse de Jean Crotti, participait à la naissance du Salon des Réalités Nouvelles en 1946, et le clan Duchamp était enfin au complet !… Lire la suite de la Tribune
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J’ai l’honneur de montrer actuellement un récent travail à l’exposition de DF ART PROJECT au Parc Floral à PARIS du 01.10 au 10.10.22.
Le Vernissage fut un succès et a bénéficié d’une grande audience grâce à la situation géographique du lieu qui accueille les visiteurs venus au Parc Floral et d’une communication largement relayée mais aussi à la qualité des œuvres exposées.
Le DÉSTRUCTURALISME FIGURATIF expose une soixantaine d’artistes plasticiens travaillant autour de la fragmentation de la figure et réunit plusieurs médiums ; peinture, sculpture, photographie, dessin, collage, art numérique, performance et installation.
Vous pouvez venir jusqu’au lundi 10 octobre au Pavillon 18 dans la bambouseraie du Parc Floral. Dimanche 9 octobre à 18h30 nous vous accueillons pour un FINISSAGE avec une performance de Anne Sophie LANCELIN.
Une exposition d’artistes plasticiens organisée par DF Art Project et Le Bloc se tiendra prochainement à Poitiers du 14 mai au 5 juin 2022 avec pour invité d’honneur l’artiste Claude A. Thibaud et à laquelle j’ai le grand plaisir de participer.
LE BLOC 19 rue Saint Grégoire 86000 Poitiers le-bloc-art.fr
Le Bloc est un espace dont la mission première est de programmer des œuvres ou des dispositifs placés sous le signe de l’expérimentation. Le Bloc se veut dédié à la valorisation précieuse des rencontres entre spectateurs.trices et processus de travail, entre spectateurs.trices, performeurs.euses et artistes, pour mieux vivre ensemble des expériences sensorielles et esthétiques uniques.
DF ART PROJECT est un collectif artistique international rassemblant des artistes plasticiens vivants, émergents et reconnus, qui partagent une vision commune de leur art. Elle consiste en une fragmentation du réel, sa mise en perspective, sa distorsion et/ou sa transformation dynamique.
Les artistes du DF ART PROJECT se positionnent, face à l’individualité grandissante, l’abandon des échanges humains et le repli sur soi, dans une démarche introspective valorisant le questionnement, le multidimensionnel, l’irréel qui éclate et plus généralement la création de nouvelles interactions moins humaines et plus virtuelles.
Ces perceptions visent à révéler, dans une sorte de cri optimiste, une situation, sans doute générationnelle, d’une société globalisée en mutation face à un futur incertain, toujours changeant.
Par son témoignage artistique, DF ART PROJECT défend une réflexion sociale où les réelles possibilités d’émancipation de l’homme comme l’autonomie de son imaginaire se redéfinissent.
Métamorphoses, ce sont des corps en dilatation tels des éthers flottant, qui se dessinent en de volumes complexes et déstructurés que l’image restitue au regard comme une possible réalité. Des corps qui n’appartiennent ni au temps, ni à l’espace, ni à notre monde mais qui ne sont qu’agrégats de matière, d’ondes et de particules élémentaires en perpétuel mouvement, pour se figer à un instant T sur mon négatif ou mon capteur. Métamorphoses, serait une photographie de l’expansion de l’univers, à un point précis de sa trajectoire, où des spectres prendraient des formes aléatoires et reconnaissables contenant la mnémique du cosmos.
J’ai le plaisir de vous inviter à cet événement exceptionnel !Venez découvrir, jeudi 17 mars, la première exposition virtuelle du collectif Déstructuralisme Figuratif Art Project. Vous serez immergé(e) dans une galerie d’art en présence des artistes. Vous pourrez faire leur connaissance et discuter avec eux. Une expérience magique à la frontière de l’ART et du VIRTUEL que vous vivrez avec une fluidité et une définition de l’image incroyables. Préparez votre coupe de champagne, installez-vous confortablement dans votre canapé, entrez dans la galerie virtuelle, revêtez votre avatar, réglez votre micro et votre caméra (ou demeurez anonyme), dirigez-vous au gré de votre curiosité dans la galerie et soyez assuré(e) d’une soirée inoubliable !
DF ART PROJECT Virtual exhibition 15 mars 〜 15 avril 2022
Je suis très heureux de savoir mon récit photographique「地電流」à l’honneur des expositions de photographies de CORRIDOR ÉLÉPHANT !
地電流, en japonais, veut dire courant tellurique.
Ce travail photographique met en lumière le ressenti perçu, lorsqu’on vit au Japon, de ces forces énigmatiques qui font l’identité de la culture japonaise. Je mets en relation cette sourde énergie tellurique avec des images qui répondent à certaines de ces vibrations comme s’il s’agissait, en quelque sorte, d’une échographie topologique.
Une invitation à la contemplation de belles faïences d’antan et autres objets antiques qui se dévoilent sous un univers fleuri et apaisant comme un jardin merveilleux et de délices.
Ce petit film vous emportera dans un monde paradisiaque, pour un instant à l’écart des réalité du monde. Notre petit Jardin d’Éden est tout en fleurs et magnifique à voir. Nous espérons que vous pourrez y apaiser votre cœur !
25 novembre ー 15 décembre 2021 Éric Petr & Galerie iDéco (antiquités)
Nous vous invitons à visiter notre galerie et les magnifiques objets en présentation.
Prenez votre temps et si vous êtes intéressés par une antiquité ou une photographie, n’hésitez pas à nous écrire pour toute question sur les pièces présentées. Les tarifs sont en yen mais nous proposons des prix en euros et nous pourrons vous envoyer un lien de paiement sécurisé Zettle by PayPal pour un paiement par carte de crédit.
Le Salon a lieu tous les ans depuis 1946 à Paris. Il se donne pour objectif la promotion des œuvres d’art «communément appelés art concret, art non-figuratif ou art abstrait». Le Salon a été fondé en 1946 par les artistes Sonia Delaunay, Auguste Herbin, Jean Arp, Jean Gorin, Pevsner… en continuité de l’association « Abstraction-Création » (1931). L’expression «Réalités Nouvelles» serait née sous la plume du poète Guillaume Apollinaire en 1912 pour désigner l’abstraction comme la forme exprimant le mieux la Réalité Moderne.
NUIT BLANCHE Samedi 2 Octobre 2021 de 18h à Minuit
MÉMOIRE DE L’AVENIR 45-47 rue Ramponeau PARIS 20e M° Belleville [L2 – 11] www.memoire-a-venir.org
Le FINISSAGE de l’exposition ITINÉRANCES DE L’ÊTRE sera honoré SAMEDI 2 OCTOBRE par une NUIT BLANCHE [18H 〜 Minuit] 🎉 SUIVEZ LE PROGRAMME . . .
Cécile Bouillot
PERFORMANCE à 18H et 18H30 Cecile Bouillot Poèmes de rue et gestes du quotidien Textes : Cécile Bouillot Musique : Brigande
Cécile Bouillot livrera deux performances autour de son dernier projet dans lequel elle met en scène des phrases capturées dans la rue depuis 2020, ponctuées d’interludes autour de gestes du quotidien mis en musique par Brigande. Par le prisme d’une narration kaléidoscopique, faite du matériau de l’ordinaire, Cécile Bouillot propose avec humour et poésie de nous confronter au gazouillement du monde, sans chercher à le faire comprendre ou à le transformer.
The (un)veiled Gaze | Lamozé
INSTALLATION : 19H-00H Lamozé The (un)veiled Gaze Installation interactive, tactile et sonore
Sélectionnée dans le cadre des projets associés à la NUIT BLANCHE « The (un)veiled Gaze » est une œuvre qui propose d’interroger le phénomène neurologique de la synesthésie pour questionner ce qui anime notre appréhension de l’environnement. Il nous invite, par le geste et le toucher à découvrir un paysage sonore dont l’image d’un corps humain constitue à la fois le véhicule et la géographie.
Eric Petr « 0xC018DA04 » • Photographie numérique sur dibond • 60 x 90 cm • 2015
EXPOSITION : jusqu’à MinuitITINÉRANCES DE L’ÊTRE vol.2
Principalement liées au temps, aux corps et à leurs métamorphoses, les œuvres présentées se font l’écho des cheminements de l’être, tant mentaux que physiques, autour des pulsions de désirs, de craintes, de vie et de mort. L’exposition collective avec : Adèle Bessy / Adrien Conrad / Brno Del Zou / Eric Petr / Gregory Dreyfus / Juliette Frescaline / Marie-Christine Palombit / Suzanne Larrieu / Yohan Blanco
Je présente pour cette exposition « Itinérances de l’être » des photographies issues de ma théma « Métamorphoses ».Métamorphoses, ce sont des corps en dilatation tels des éthers flottant, qui se dessinent en de volumes complexes et déstructurés que l’image restitue au regard comme une possible réalité. Des corps qui n’appartiennent ni au temps, ni à l’espace, ni à notre monde mais qui ne sont qu’agrégats de matière, d’ondes et de particules élémentaires en perpétuel mouvement, pour se figer à un instant T sur mon négatif ou mon capteur. Métamorphoses, serait une photographie de l’expansion de l’univers, à un point précis de sa trajectoire, où des spectres prendraient des formes aléatoires et reconnaissables contenant la mnémique du cosmos. Mon écriture photographique est directe ; elle naît de la rencontre d’un instant fixé sur le fil de l’intemporalité entre l’homme et l’univers.
9 artistes sont exposés : Adèle Bessy / Adrien Conrad / Brno Del Zou / Eric Petr / Gregory Dreyfus / Juliette Frescaline / Marie-Christine Palombit / Suzanne Larrieu / Yohan Blanco
Mémoire de l’Avenir invite, pour deux expositions consécutives, le collectif artistique international DF Art Project, qui regroupe des artistes partageant une recherche plastique commune, autour de la fragmentation du réel, sa mise en perspective, sa distorsion et/ou sa transformation dynamique. Les artistes du collectif interrogent autant le sujet que le médium, à travers des projets plastiques, photographiques, sculpturaux, performatifs, ou vidéo. Texte : Mémoire de l’Avenir
Mes photographies exposées sont, elles, issues de ma thématique « Métamorphoses ». Métamorphoses, ce sont des corps en dilatation tels des éthers flottant, qui se dessinent en de volumes complexes et déstructurés que l’image restitue au regard comme une possible réalité. Des corps qui n’appartiennent ni au temps, ni à l’espace, ni à notre monde mais qui ne sont qu’agrégats de matière, d’ondes et de particules élémentaires en perpétuel mouvement, pour se figer à un instant T sur mon négatif ou mon capteur. Métamorphoses, serait une photographie de l’expansion de l’univers, à un point précis de sa trajectoire, où des spectres prendraient des formes aléatoires et reconnaissables contenant la mnémique du cosmos. Mon écriture photographique est directe ; elle naît de la rencontre d’un instant fixé sur le fil de l’intemporalité entre l’homme et l’univers.